Le Dr Michel Muvudi, fondateur du Groupe CIDE (Compétences Intelligence Développement Expertise), vient de publier un nouvel ouvrage intitulé « Groupe CIDE : leadership et économie positive, 9 ans après le lancement de sa vision de solidarité pour le développement humain ».

Ce livre de 275 pages retrace les fondements, les réalisations et la philosophie du Groupe CIDE, une structure de volontariat apolitique et non confessionnelle œuvrant pour le développement humain à travers l’éducation, la santé, la formation continue et la promotion des valeurs.

À travers des explications détaillées et des témoignages inspirants de membres, l’auteur partage les clés de son approche unique alliant solidarité locale, expertise et intelligence collective. L’ouvrage sert également d’outil de capitalisation pour documenter les bonnes pratiques et les impacts générés depuis la création du groupe.

Forte de plus de 200 000 membres, la communauté CIDE continue de grandir et d’étendre son rayonnement à travers des actions concrètes en faveur du développement humain.

Pour se procurer le livre, il est possible de contacter le numéro : +243 81 54 52 055 (ou 081 545 2055 depuis la RDC).

Kinshasa a vibré ce vendredi 18 juillet à l’occasion du lancement officiel de deux livres signés Don Israël Mbuyi, Le Rêve Congolais et Le Plan National pour la Promotion de l’Entrepreneuriat des Jeunes, publiés aux éditions Alibooks. La cérémonie, riche en échanges sur l’émancipation des jeunes et le développement économique, a réuni des personnalités politiques, universitaires et des acteurs clés du monde littéraire.

Un Événement Placé Sous de Prestigieux Parrainages

Parmi les invités d’honneur figuraient Tina Salama, porte-parole du Président Félix Tshisekedi et préfacière du Rêve Congolais, ainsi que le Pr Jean-Marie Kanda, président du Conseil supérieur de l’éducation en RDC. Leur présence a souligné l’importance des thématiques abordées par l’auteur, entre esprit critique et propositions constructives pour l’avenir du pays.

« Le Rêve Congolais » : Un Témoignage et une Vision

Dans cet ouvrage, Don Israël Mbuyi partage son parcours entrepreneurial, mêlant succès et défis, tout en esquissant une vision ambitieuse pour un Congo prospère, porté par sa jeunesse. Il y défend une culture de l’excellence, de la responsabilité et de l’innovation, appelant chaque Congolais à contribuer activement à l’édification nationale.

Un Plan Stratégique pour l’Entrepreneuriat Jeune

Le second livre, Le Plan National pour la Promotion de l’Entrepreneuriat des Jeunes, se présente comme un guide pratique à destination des décideurs politiques. L’auteur y formule des recommandations concrètes pour stimuler l’entrepreneuriat et créer des opportunités durables, en phase avec les priorités du gouvernement en matière d’émergence d’une jeunesse dynamique et entreprenante.

Un Appel à l’Action Générationnelle

À travers ce double lancement, Don Israël Mbuyi aspire à susciter une prise de conscience collective. Son message est clair : croire en son potentiel, investir dans ses compétences et œuvrer ensemble pour un Congo renouvelé, par et pour les jeunes.

Une initiative littéraire qui, au-delà des mots, se veut un levier pour l’action et l’espoir.

Par Marc Etumba, correspondant à Kinshasa
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Esquive judiciaire ou politique ?

Procédure devant la cour constitutionnelle congolaise : Esquive judiciaire ou politique ? est une réflexion sur la primauté du droit subjectif sur le droit substantiel, avec pour conséquence procédurale, l’abandon par le juge de l’examen du fond de l’objet en cause suite au défaut de qualité du requérant ou du manque de son lien d’intérêt à celui-ci : prédominance de la forme sur le fond.

Pour l’auteur, la forme ne peut déterminer ni sublimer le fond, mais l’inverse est vrai. Les esquives judiciaires d’irrecevabilité de requêtes pour défaut de qualité de sujets comme conséquence de la logique procédurale, l’abandon de l’examen de fond, la délicatesse politique pour décliner ses compétences n’amènent pas la Cour Constitutionnelle à vider le contentieux.

Bien au contraire, elle peut nourrir les risques réfractaires, réactionnaires ou révolutionnaires peu souhaitables pour la paix sociale et civile, la construction d’un État de droit et l’instauration de la démocratie.

Eugène Banyaku Luape Epotu

Les activités minières de type artisanal sont très répandues en République
Démocratique du Congo. L’exploitation des substances minérales par des
procédés primitifs ou des techniques rudimentaires suscite un engouement inouï
chez les communautés locales vivant à proximité des zones minières ou de carrières.
L’existence de la loi minière prouve à suffisance que le secteur minier artisanal est formalisé, structuré, ou encore régulé ; bien que le désordre et l’anarchie y règnent en
maîtres.
Cet ouvrage analyse la réglementation qui sous-tend l’artisanat minier congolais. Il
permet de mieux comprendre les tenants et aboutissants de cet artisanat, tout en
mettant en évidence la disparité entre ce que dit la loi et ce qui se passe dans les faits.
Il démontre qu’il existe un réel décalage entre la théorie et la pratique.

Docteur en droit, Cim’s MULUNGULUNGU NACHINDA est professeur associé à la Faculté de droit de
l’Université de Kinshasa.
Praticien du droit minier depuis 2006, président de la délégation syndicale et membre du Comité de
direction honoraire du Cadastre minier, il y est actuellement chef de service contentieux.
Responsable des ÉditionsCM, biographe et membre de la Société de législation comparée (France), il est
auteur de plusieurs ouvrages et articles scientifiques

1980-2015

Mapon Matata Ponyo montre que la mise en oeuvre réussie des politiques publiques dépend de plusieurs facteurs dont la qualité des institutions chargées de leur conception et de leur mise en oeuvre. Il établit, en utilisant une approche économétrique, que dans le court et long terme, les réformes institutionnelles et l’amélioration de la gouvernance sont des facteurs sur lesquels la RDC devrait asseoir son modèle de développement.

Dans son ouvrage intitulé Qualité des institutions et résultats économiques en République Démocratique du Congo : 1980 – 2015, Matata Ponyo Mapon montre que la mise en oeuvre réussie des politiques publiques dépend de plusieurs facteurs dont la qualité des institutions chargées de leur conception et de leur mise en oeuvre. Il établit – en utilisant une approche économétrique – que dans le court et long terme, les réformes institutionnelles et l’amélioration de la gouvernance sont des facteurs sur lesquels la RDC devrait asseoir son modèle de développement.

Biographie de l’auteur

Né en juin 1964, Matata Ponyo MAPON est détenteur d’un diplôme d’études approfondies en Sciences Economiques. Il est spécialiste en macroéconomie et en économie de développement. Ses récentes recherches portent sur la nouvelle économie institutionnelle. De 2010 à 2012, Matata Ponyo Mapon a été Ministre des Finances de la République démocratique du Congo (RDC). Depuis avril 2012, il dirige le gouvernement de son pays en qualité de Premier Ministre.

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Mémoires

Léon Kengo wa Dondo

Né à Libenge en 1935, Léon Kengo wa Dondo se rend à Bruxelles pour ses études supérieures. Depuis son retour en République démocratique du Congo, il n’a jamais quitté les arcanes du pouvoir d’Etat. Au total, plus d’un demi-siècle de commandement des hommes et des institutions. Au-delà du parcours familial, scolaire, académique et politique du personnage, c’est l’histoire de l’Etat congolais qui se lit en trame, à travers ces Mémoires.

Né à Libenge le 22 mai 1935, Léon Kengo wa Dondo a suivi ses études primaires et secondaires à Libenge, puis à Coquilhatville, au « Groupe scolaire » (1941-1958). Recruté commis au parquet de district de Léopoldville à la fin de ses études secondaires (1958), il se rend à Bruxelles pour y effectuer un stage de perfectionnement sur la criminologie (1961).

En 1967, il décroche un diplôme de doctorat, puis une licence spéciale en droit des espaces, maritime et aérien à l’Université libre de Bruxelles.

Depuis son retour au pays – où une longue carrière au service de l’État devait finalement l’y attendre – il n’a jamais quitté les arcanes du pouvoir d’État. Tour à tour conseiller au collège juridique et administratif du cabinet du président Mobutu (1967-1968), procureur général près la Cour d’appel de Léopoldville (1968), procureur général de la République (1968-1979), ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire auprès des trois monarchies constitutionnelles du Benelux (1979-1982), « Premier commissaire d’État » (1982-1986), commissaire d’État aux Affaires étrangères et à la Coopération internationale (1986-1987),

Premier président de la Cour des comptes (1987-1988), « Premier commissaire d’État » (1988-1990), Premier ministre de la Transition démocratique (1994-1997), sénateur et président du Sénat (2007-2011, puis 2012-2019), Léon Kengo wa Dondo est le seul Congolais à avoir dirigé les trois pouvoirs traditionnels de l’État : le Judiciaire, l’Exécutif et le Législatif. Au total, plus d’un demi-siècle de commandement des hommes et des institutions ! Au-delà du prestigieux parcours familial, scolaire, académique et politique du personnage – parcours atypique dont on chercherait en vain à trouver un équivalent contemporain dans son pays –, c’est l’histoire de l’État congolais qui se lit en trame à travers ces Mémoires. Son long parcours et sa réputation d’homme de conviction et de rigueur lui ont valu, de la part de sa mère, le surnom de « Léon l’État ». C’est fort de cette expérience et de ces qualités qu’il n’a pas voulu dissimuler sa passion envers sa patrie. Il veut que ses Mémoires, ponctués de savoureuses anecdotes côtoyant en même temps de dures vérités historiques, soient destinés avant tout à la jeunesse, pour inspirer cette dernière dans sa quête du « mieux-État » et du « mieux-être ».

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Le secteur minier constitue la source principale des recettes de l’économie de la R.D. Congo, pays qualifié de « scandale géologique ». Toutes les ressources minérales attirent plusieurs investisseurs nationaux et étrangers mais en raison de multiples pathologies dont souffre ce secteur, au lieu d’amorcer sa montée, le pays est en train de couler. Malgré la promulgation du Code Minier de 2018, tout le secteur des mines de la R.D. Congo n’échappe pas aux problèmes de la mauvaise gouvernance, de non-application de certaines dispositions de la loi minière, de la corruption, du manque de transparence, de la fraude minière. L’auteur analyse minutieusement les types de maux et propose des pistes de solutions réalistes en vue de permettre à la R.D. Congo d’émerger.

Le secteur minier constitue la source principale des recettes de l’économie de la R.D. Congo, pays qualifié de « scandale géologique », en raison de son grand potentiel dû notamment à la présence du cuivre, du cobalt, du zinc, de l’or, du diamant, de l’étain, du coltan et des métaux radioactifs. Toutes ces ressources minérales attirent plusieurs investisseurs nationaux et étrangers. Cependant, en raison de multiples pathologies dont souffre ce secteur, au lieu d’amorcer sa montée, le pays est en train de couler.

Malgré la promulgation du Code Minier de 2018, tout le secteur des mines de la R.D. Congo n’échappe pas aux problèmes de la mauvaise gouvernance, de la non application de certaines dispositions de la loi minière, de la corruption, du manque de transparence, de la fraude minière. Tout ceci est à la base de la minoration des recettes dues à l’État, aux Provinces et surtout, aux communautés locales impactées par les projets miniers. Ainsi, l’auteur analyse minutieusement les types de maux et propose des pistes de solutions réalistes en vue de permettre à la R.D. Congo d’émerger. Après avoir montré le caractère épuisable de cette richesse du secteur minier, le professeur Willy KITOBO a insisté sur la nécessité de laisser aux générations futures un héritage national considérable qui leur permettra d’être fières du travail accompli par leurs ancêtres en amont.

Les défis à relever dans le secteur des mines de la R.D. CONGO de Willy Kitobo Samsoni

Préface de Célestin MULEKA KIMPANGA

Collection : Harmattan RDC

Biographie de l’auteur

Willy KITOBO SAMSONI est docteur en sciences de l’ingénieur de l’Université de Liège/Belgique, professeur à la faculté polytechnique de l’Université de Lubumbashi. Ancien directeur de l’École Supérieure des Ingénieurs Industriels (ESI), ancien doyen de la faculté polytechnique, Ministre provincial honoraire des mines, affaires foncières et environnement du Haut-Katanga et Ministre national honoraire des mines.

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