Au moins 12 civils ont été tués jeudi lors d’une attaque de djihadistes présumés dans le nord du Burkina Faso, a appris l’AFP lundi de sources locales.
Jeudi, un « groupe de terroristes » a attaqué le village de Aorema, situé à une dizaine de kilomètres de Ouahigouya, chef-lieu de la région du Nord, ont expliqué à l’AFP des habitants de la zone.
« Les assaillants ont ouvert le feu sur un groupe de jeunes assis dans un kiosque (restaurant informel, ndlr). Sept jeunes sont morts sur le champ et trois personnes sont mortes dans leurs domiciles, touchées par des balles perdues. Deux autres personnes, blessées par balles, ont ensuite succombé à leurs blessures », a expliqué l’un d’eux.
Selon un autre habitant, le bilan s’élève à « 14 morts », avec plusieurs blessés qui ont succombé à leurs blessures dans les jours qui ont suivi l’attaque.
Au moins 12 civils ont été tués jeudi lors d’une attaque de djihadistes présumés dans le nord du Burkina Faso, a appris l’AFP lundi de sources locales.
Jeudi, un « groupe de terroristes » a attaqué le village de Aorema, situé à une dizaine de kilomètres de Ouahigouya, chef-lieu de la région du Nord, ont expliqué à l’AFP des habitants de la zone.
« Les assaillants ont ouvert le feu sur un groupe de jeunes assis dans un kiosque (restaurant informel, ndlr). Sept jeunes sont morts sur le champ et trois personnes sont mortes dans leurs domiciles, touchées par des balles perdues. Deux autres personnes, blessées par balles, ont ensuite succombé à leurs blessures », a expliqué l’un d’eux.
Selon un autre habitant, le bilan s’élève à « 14 morts », avec plusieurs blessés qui ont succombé à leurs blessures dans les jours qui ont suivi l’attaque.
Le Burkina Faso connaît une intensification de violences djihadistes depuis le début de l’année, avec plusieurs dizaines de morts – civils ou militaires – quasiment chaque semaine.
Les violences attribuées aux groupes liés à Al-Qaïda et à l’organisation Etat islamique (EI), ont fait depuis 2015 plus de 10 000 morts – civils et militaires – selon des ONG, et quelque deux millions de déplacés.
AFRICA NEWS via CONGO PUB Online