En RDC, les élus nationaux et sénateurs retrouvent leur siège du Parlement afin de lancer la session ordinaire de mars. Cette ouverture intervient dans une situation sécuritaire tendue dans la partie Est de la RDC, causée par son voisin le Rwanda par l’entremise de la milice terroriste du M23.
D’aucuns estiment que cette session s’ouvre au bon moment afin de trai-ter de la question de l’Est de la RDC.
C’est « une session des grands enjeux dont la priorité des priorités doit être la situation sécuritaire dans la partie Est du pays et le processus élec-toral en cours marqué par l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs. L’adhésion de la RDC au sein de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Est devra être aussi au cœur des débats », a expliqué le dé-puté élu de Walikale Juvénal Munobo, à Actualité.cd.
Plusieurs langues se délient sur cette affaire. L’activisme mené par le M23 dans la partie de la RDC menace de plus en plus l’intégrité du territoire congolais. Malgré les efforts diplomatiques menés par la RDC, le régime de Kigali nie toujours les accusations des autorités congolaises.
Joe KAZUMBA
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