Le ministre de la communication et médias, porte-parole du gouvernement congolais, Patrick Muyaya a déclaré qu’étant donné qu’une partie du territoire est occupée , les informations liés aux déroulement des opérations militaires requiert une couverture professionnelle.
« …Nous avons par exemple remarqué et d’ailleurs nous allons engager une initiative dans ce sens qu’un journaliste étranger s’est permis de publier les conversations des militaires engagés sur le front, ça ne se fait nul part. C’est une violation de secret défense mais c’est aussi une forme d’exposition pour nos militaires parce qu’ils peuvent être retracé par l’ennemi et donc nous allons nous assurer , vérifier d’abord si ce journaliste rempli toutes les qualités pour exercer ce métier mais ensuite il faut trouver une manière de passer le message » a déclaré le porte-parole du gouvernement congolais, Patrick Muyaya.
Selon ce dernier, le gouvernement congolais n’a pas envie de copier le modèle européen qui a censuré tous les médias Russes parce qu’ils assurent la propagande.
Le pays est aussi sur le front médiatique au-delà du front diplomatique et des autres front diplomatique défini cependant il existe beaucoup d’infiltrations sur ce front car il y a beaucoup de journalistes qui se font le relais des messages ennemis.
» Nous ne sommes pas comme chez les voisins où les journalistes n’ont pas le droit de s’exprimer mais lorsque le journalisme s’exerce dans un contexte de guerre, il y a un minimum des choses qu’il faut observer » a déclaré le patron des médias.
Tabitha-Tifanny Moseka
CONGO PUB Online